Dimitrij Liebermann a 19 ans, il est juif – et doit s'excuser. Il a frappé un camarade de classe au visage. Ce qui suit n'est pas des excuses, mais une critique cinématographique contre les attentes, les stéréotypes et le racisme quotidien. Dimitrij parle directement à la caméra, brise les codes narratifs et emmène le public dans un voyage personnel à travers les tensions entre origine, mémoire et pression sociale. Le court-métrage met en scène son personnage principal à la fois comme narrateur, critique et personne concernée. Il traite de la projection de la culpabilité, de la culture mémorielle allemande, de l'attribution d'une identité et de l'ambivalence d'être un jeune juif visible en Allemagne. Avec des montages rapides et un ton satirique, le film remet en question le besoin de la société majoritaire d'expliquer, de classer ou même de s'approprier la vie juive. MASEL TOV COCKTAIL d'Arkadij Khaet et Mickey Paatzsch mélange des éléments documentaires et fictifs, et utilise des collages, des animations et des citations. Il a reçu le prix Grimme, le prix allemand du film sur les droits de l'homme et d'autres récompenses. Ce n'est pas un film explicatif, mais une contradiction pointue, bruyante, rapide et dérangeante.
Une virée déjantée à travers les sensibilités allemandes et l'affirmation de soi juive – récompensée par le prix Grimme.
Dimitrij Liebermann a 19 ans, il est juif – et doit s'excuser. Il a frappé un camarade de classe au visage. Ce qui suit n'est pas des excuses, mais une critique cinématographique contre les attentes, les stéréotypes et le racisme quotidien. Dimitrij parle directement à la caméra, brise les codes narratifs et emmène le public dans un voyage personnel à travers les tensions entre origine, mémoire et pression sociale.
Le court-métrage met en scène son personnage principal à la fois comme narrateur, critique et personne concernée. Il traite de la projection de la culpabilité, de la culture mémorielle allemande, de l'attribution d'une identité et de l'ambivalence d'être un jeune juif visible en Allemagne. Avec des montages rapides et un ton satirique, le film remet en question le besoin de la société majoritaire d'expliquer, de classer ou même de s'approprier la vie juive.
MASEL TOV COCKTAIL d'Arkadij Khaet et Mickey Paatzsch mélange des éléments documentaires et fictifs, et utilise des collages, des animations et des citations. Il a reçu le prix Grimme, le prix allemand du film sur les droits de l'homme et d'autres récompenses. Ce n'est pas un film explicatif, mais une contradiction pointue, bruyante, rapide et dérangeante.