Dans l'immensité tranquille de l'Elbe, où le soleil couchant baigne les bateaux de croisière désaffectés d'une douce lumière, commence une histoire de désir et d'attente. Un jeune homme, joué par Marian Freistühler, se retrouve sur les rives de ce fleuve puissant, entouré de couples qui flânent en regardant le coucher du soleil. Ses pensées s'égarent vers une nouvelle incertaine qui pourrait déterminer son futur destin. Le décor mélancolique devient le théâtre d'un drame intérieur tandis qu'il s'imagine partir lui-même en voyage - un voyage qui le conduit de manière inattendue à bord d'un de ces gigantesques bateaux abandonnés. Ce court-métrage de fiction de 25 minutes, un travail de Marian Freistühler pour son Bachelor of Fine Arts à la HFBK, sous la direction du professeur Robert Bramkamp et du professeur Angela Schanelec, est une réflexion sur la solitude, l'espoir et les moments éphémères de la vie. Dans un monde qui semble s'être arrêté, le protagoniste cherche une étincelle de connexion dans un environnement de plus en plus isolé. Le travail de caméra de Julian Gillmann capture chaque nuance de ce voyage introspectif, soutenu par les sons atmosphériques que Erik Merlin Kierzek et Ruben Christiansen créent de main de maître. A une époque marquée par l'insécurité et le désir d'intimité, ce film se révèle être une pièce poétique de l'art cinématographique contemporain, qui touche aussi bien visuellement qu'émotionnellement et qui pousse à la réflexion.
Une rom-com apocalyptique soft avec des couchers de soleil et des bonbons.
Dans l'immensité tranquille de l'Elbe, où le soleil couchant baigne les bateaux de croisière désaffectés d'une douce lumière, commence une histoire de désir et d'attente. Un jeune homme, joué par Marian Freistühler, se retrouve sur les rives de ce fleuve puissant, entouré de couples qui flânent en regardant le coucher du soleil. Ses pensées s'égarent vers une nouvelle incertaine qui pourrait déterminer son futur destin. Le décor mélancolique devient le théâtre d'un drame intérieur tandis qu'il s'imagine partir lui-même en voyage - un voyage qui le conduit de manière inattendue à bord d'un de ces gigantesques bateaux abandonnés.
Ce court-métrage de fiction de 25 minutes, un travail de Marian Freistühler pour son Bachelor of Fine Arts à la HFBK, sous la direction du professeur Robert Bramkamp et du professeur Angela Schanelec, est une réflexion sur la solitude, l'espoir et les moments éphémères de la vie. Dans un monde qui semble s'être arrêté, le protagoniste cherche une étincelle de connexion dans un environnement de plus en plus isolé. Le travail de caméra de Julian Gillmann capture chaque nuance de ce voyage introspectif, soutenu par les sons atmosphériques que Erik Merlin Kierzek et Ruben Christiansen créent de main de maître.
A une époque marquée par l'insécurité et le désir d'intimité, ce film se révèle être une pièce poétique de l'art cinématographique contemporain, qui touche aussi bien visuellement qu'émotionnellement et qui pousse à la réflexion.