László Kovács, cinéaste d'auteur, se voit refuser le financement de son projet de film : trop vieux, blanc et problèmes cardiaques en plus ! Conclusion : il n'est plus employable. Le Hongrois du lac Balaton ne voulait-il pas autrefois viser haut ? Et maintenant ? Continuer à être sur le dos de sa femme qui a réussi ? László glisse dans une véritable crise de vie et trouve d'abord du réconfort dans l'attirance fascinante d'une « grande femme » du village voisin. Mais lorsqu'un populiste de droite se présente comme le seul candidat à la mairie du village de 120 âmes, László reprend ses esprits. Pour « empêcher l'idiot de droite », il se présente comme un opposant libéral. S'ensuit une bataille animée et souvent humoristique qui l'oblige à repenser ses propres convictions et son rôle dans la communauté. Alors que László lutte contre les vents populistes, le film explore les questions complexes de l'âgisme et du débat politique dans une société de plus en plus polarisée, avec un sens aigu de l'humour et de l'humanité. Réalisé par Ben von Grafenstein, qui a repris le projet après la mort inattendue de Zoltan Paul, le film sert de réflexion humoristique mais réfléchie sur la vie et l'héritage de Paul lui-même. Cela donne à SURVIVRE À BRANDEBOURG une touche particulièrement personnelle, car László Kovács est en partie un alter ego de Zoltan Paul. La représentation humoristique de la campagne de László, qui se caractérise souvent par ses méthodes non conventionnelles et la dynamique excentrique de la vie du village, fait du film une comédie divertissante. Malgré le ton léger, des questions sérieuses sont soulevées sur l'importance de la communauté et de l'engagement individuel à une époque où les mouvements populistes de droite se multiplient dans le monde entier.
Cinéma indépendant, Comédie
1h 20min
12 FSK
DE
SV
EN
Pour que son village brandebourgeois ne sombre pas dans le marais de la droite, László se présente à contrecœur comme candidat à la mairie.
László Kovács, cinéaste d'auteur, se voit refuser le financement de son projet de film : trop vieux, blanc et problèmes cardiaques en plus ! Conclusion : il n'est plus employable. Le Hongrois du lac Balaton ne voulait-il pas autrefois viser haut ? Et maintenant ? Continuer à être sur le dos de sa femme qui a réussi ? László glisse dans une véritable crise de vie et trouve d'abord du réconfort dans l'attirance fascinante d'une « grande femme » du village voisin.
Mais lorsqu'un populiste de droite se présente comme le seul candidat à la mairie du village de 120 âmes, László reprend ses esprits. Pour « empêcher l'idiot de droite », il se présente comme un opposant libéral. S'ensuit une bataille animée et souvent humoristique qui l'oblige à repenser ses propres convictions et son rôle dans la communauté.
Alors que László lutte contre les vents populistes, le film explore les questions complexes de l'âgisme et du débat politique dans une société de plus en plus polarisée, avec un sens aigu de l'humour et de l'humanité. Réalisé par Ben von Grafenstein, qui a repris le projet après la mort inattendue de Zoltan Paul, le film sert de réflexion humoristique mais réfléchie sur la vie et l'héritage de Paul lui-même. Cela donne à SURVIVRE À BRANDEBOURG une touche particulièrement personnelle, car László Kovács est en partie un alter ego de Zoltan Paul.
La représentation humoristique de la campagne de László, qui se caractérise souvent par ses méthodes non conventionnelles et la dynamique excentrique de la vie du village, fait du film une comédie divertissante. Malgré le ton léger, des questions sérieuses sont soulevées sur l'importance de la communauté et de l'engagement individuel à une époque où les mouvements populistes de droite se multiplient dans le monde entier.