Cheyenne, (Marie Schulte-Werning), est la seule fille d'une clique majoritairement masculine dont le quotidien tourne autour du football, de la boisson et de la bagarre. Lorsque Dany, (Moritz Reinisch), rejoint le groupe, Cheyenne découvre bientôt son secret et est confrontée à une décision difficile. Le film plonge profondément dans une histoire qui offre à la fois une étude dure du milieu et une représentation sensible des thèmes transgenres. DON'T CALL ME BRO ne montre pas seulement le comportement rude du groupe, mais traite aussi des défis que les jeunes transgenres rencontrent dans une société petite-bourgeoise. Wenzel utilise la perspective du délinquant pour créer une empathie profonde et une compréhension intense de ses personnages, sans pour autant excuser leurs actions. Avec un tournage authentique, une caméra à l'épaule dynamique et un regard aiguisé sur les réalités de la vie des jeunes, Gina Wenzel crée un portrait captivant de jeunes qui luttent avec l'identité, l'appartenance et les préjugés. Le film se termine par un message fort pour plus de tolérance et contre l'exclusion, qui incite à ne pas détourner le regard mais à se pencher activement sur les thèmes présentés.
Drame, Court métrage
18min
16
DE
PT
ES
EN
IT
DE
SV
Gina Wenzel raconte la violence des jeunes du point de vue de l'auteur dans son étude de milieu très dure.
Cheyenne, (Marie Schulte-Werning), est la seule fille d'une clique majoritairement masculine dont le quotidien tourne autour du football, de la boisson et de la bagarre. Lorsque Dany, (Moritz Reinisch), rejoint le groupe, Cheyenne découvre bientôt son secret et est confrontée à une décision difficile. Le film plonge profondément dans une histoire qui offre à la fois une étude dure du milieu et une représentation sensible des thèmes transgenres.
DON'T CALL ME BRO ne montre pas seulement le comportement rude du groupe, mais traite aussi des défis que les jeunes transgenres rencontrent dans une société petite-bourgeoise. Wenzel utilise la perspective du délinquant pour créer une empathie profonde et une compréhension intense de ses personnages, sans pour autant excuser leurs actions.
Avec un tournage authentique, une caméra à l'épaule dynamique et un regard aiguisé sur les réalités de la vie des jeunes, Gina Wenzel crée un portrait captivant de jeunes qui luttent avec l'identité, l'appartenance et les préjugés. Le film se termine par un message fort pour plus de tolérance et contre l'exclusion, qui incite à ne pas détourner le regard mais à se pencher activement sur les thèmes présentés.