La folle histoire de l'homme au masque de singe dans son odyssée à travers le jardin des tortures des plaisirs déviants se poursuit. Dans 2551.02 - THE ORGY OF THE DAMNED, le réalisateur Norbert Pfaffenbichler poursuit sa saga qui repousse les limites avec une odyssée qui s'enfonce dans un univers souterrain grotesque et dépourvu de tabous, notamment ceux concernant le bon goût. Cette suite, qui fait partie d'une trilogie prévue, reprend là où son prédécesseur s'est arrêté, propulsant le public dans un monde dystopique où la déviance et la douleur règnent en maître. Le protagoniste, un homme portant un masque de singe, se lance dans un voyage périlleux pour sauver un enfant abandonné, naviguant dans un labyrinthe de perversions et de violence. Avec une créativité sans budget distinctive, Pfaffenbichler fait revivre l'éthique punk du vrai cinéma indépendant, offrant une expérience visuellement saisissante caractérisée par l'absence de dialogue, des masques bizarres et une société cachée dans un royaume souterrain. Le récit du film, inspiré du film "The Kid" de Charlie Chaplin, est propulsé par l'esthétique du cinéma muet, mêlant des éléments de violence burlesque, de sexualité tordue et d'humour noir. Alors que l'homme-singe est poursuivi par un médecin spécialiste de la peste et ses sbires, il rencontre diverses figures grotesques et vit des moments de tendresse et d'érotisme inattendus au milieu du chaos. L'utilisation de musique industrielle et classique enrichit encore l'atmosphère immersive du film, ce qui en fait une fusion convaincante d'horreur, d'érotisme et de satire. 2551.02 - THE ORGY OF THE DAMNED a été acclamé pour sa mise en scène innovante et son exploration audacieuse des thèmes liés à la sexualité, au genre et à la décadence de la société. L'œuvre de Pfaffenbichler interpelle les spectateurs par son contenu explicite et son imagerie surréaliste, positionnant le film comme une entrée unique et provocatrice dans le cinéma contemporain.
Le cabinet d'épouvante sombre et dystopique aux vibrations BDSM, autour de l'homme au masque de singe, en est à son deuxième tour.
La folle histoire de l'homme au masque de singe dans son odyssée à travers le jardin des tortures des plaisirs déviants se poursuit. Dans 2551.02 - THE ORGY OF THE DAMNED, le réalisateur Norbert Pfaffenbichler poursuit sa saga qui repousse les limites avec une odyssée qui s'enfonce dans un univers souterrain grotesque et dépourvu de tabous, notamment ceux concernant le bon goût. Cette suite, qui fait partie d'une trilogie prévue, reprend là où son prédécesseur s'est arrêté, propulsant le public dans un monde dystopique où la déviance et la douleur règnent en maître.
Le protagoniste, un homme portant un masque de singe, se lance dans un voyage périlleux pour sauver un enfant abandonné, naviguant dans un labyrinthe de perversions et de violence. Avec une créativité sans budget distinctive, Pfaffenbichler fait revivre l'éthique punk du vrai cinéma indépendant, offrant une expérience visuellement saisissante caractérisée par l'absence de dialogue, des masques bizarres et une société cachée dans un royaume souterrain.
Le récit du film, inspiré du film "The Kid" de Charlie Chaplin, est propulsé par l'esthétique du cinéma muet, mêlant des éléments de violence burlesque, de sexualité tordue et d'humour noir. Alors que l'homme-singe est poursuivi par un médecin spécialiste de la peste et ses sbires, il rencontre diverses figures grotesques et vit des moments de tendresse et d'érotisme inattendus au milieu du chaos. L'utilisation de musique industrielle et classique enrichit encore l'atmosphère immersive du film, ce qui en fait une fusion convaincante d'horreur, d'érotisme et de satire.
2551.02 - THE ORGY OF THE DAMNED a été acclamé pour sa mise en scène innovante et son exploration audacieuse des thèmes liés à la sexualité, au genre et à la décadence de la société. L'œuvre de Pfaffenbichler interpelle les spectateurs par son contenu explicite et son imagerie surréaliste, positionnant le film comme une entrée unique et provocatrice dans le cinéma contemporain.