Dans MAKE UP THE WORLD, les cinéastes Susanne Weirich et Robert Bramkamp explorent l'impact profond des accessoires de cinéma, en s'aventurant dans des entrepôts d'accessoires comme le Studio Babelsberg, Delikatessen Berlin et FTA Props à Hambourg. Chaque objet, des lampes aux tableaux, incarne des récits qui transcendent leur forme physique, enrichissant les histoires cinématographiques de "Kolberg" à "Großstadtrevier". Au centre du film, Thelma Buabeng, doctorante en études postcoloniales, plonge dans les histoires coloniales des artefacts africains, en mettant en lumière le portrait "Femme africaine tenant une horloge." Cette exploration remet en question les perceptions de l'héritage africain dans la culture occidentale, offrant un commentaire nuancé sur la représentation et l'identité. Mêlant documentaire et fiction, le travail de Weirich et Bramkamp est un voyage de réflexion sur l'importance des objets inanimés dans la narration. Grâce à des examens détaillés et à des éléments de fiction, le film dévoile les couches de signification qui se cachent derrière chaque accessoire, en montrant comment ils ont un poids historique, culturel et émotionnel. Acclamé par la critique pour sa narration innovante et son récit perspicace, MAKE UP THE WORLD invite le public à reconsidérer le rôle des objets dans les films, en révélant les histoires inédites qu'ils racontent et les histoires oubliées qu'ils encapsulent. C'est un témoignage du monde invisible de la production cinématographique, qui incite à apprécier davantage ce qui semble insignifiant. "L'arrière-plan devient le premier plan ! L'artiste conceptuelle Susanne Weirich et le réalisateur Robert Bramkamp font des underdogs de chaque film des acteurs principaux sur toute la longueur du long-métrage". (Kerstin Decker, Tagesspiegel).
Documentaire, Cinéma indépendant
1h 39min
0 FSK
DE
EN
Ils jouent un rôle crucial dans chaque film, et pourtant, on les remarque rarement consciemment - les grandes et petites choses du décor.
Dans MAKE UP THE WORLD, les cinéastes Susanne Weirich et Robert Bramkamp explorent l'impact profond des accessoires de cinéma, en s'aventurant dans des entrepôts d'accessoires comme le Studio Babelsberg, Delikatessen Berlin et FTA Props à Hambourg. Chaque objet, des lampes aux tableaux, incarne des récits qui transcendent leur forme physique, enrichissant les histoires cinématographiques de "Kolberg" à "Großstadtrevier".
Au centre du film, Thelma Buabeng, doctorante en études postcoloniales, plonge dans les histoires coloniales des artefacts africains, en mettant en lumière le portrait "Femme africaine tenant une horloge." Cette exploration remet en question les perceptions de l'héritage africain dans la culture occidentale, offrant un commentaire nuancé sur la représentation et l'identité.
Mêlant documentaire et fiction, le travail de Weirich et Bramkamp est un voyage de réflexion sur l'importance des objets inanimés dans la narration. Grâce à des examens détaillés et à des éléments de fiction, le film dévoile les couches de signification qui se cachent derrière chaque accessoire, en montrant comment ils ont un poids historique, culturel et émotionnel.
Acclamé par la critique pour sa narration innovante et son récit perspicace, MAKE UP THE WORLD invite le public à reconsidérer le rôle des objets dans les films, en révélant les histoires inédites qu'ils racontent et les histoires oubliées qu'ils encapsulent. C'est un témoignage du monde invisible de la production cinématographique, qui incite à apprécier davantage ce qui semble insignifiant.
"L'arrière-plan devient le premier plan ! L'artiste conceptuelle Susanne Weirich et le réalisateur Robert Bramkamp font des underdogs de chaque film des acteurs principaux sur toute la longueur du long-métrage". (Kerstin Decker, Tagesspiegel).