Documentaire intime et profondément touchant, NOS PÈRES donne vie aux relations complexes et profondes entre les enfants et leurs pères. À travers six récits captivants, racontés dans un style minimaliste sur un fond noir austère, le film plonge dans le labyrinthe émotionnel de la paternité. Ali, Dela, Jonas, Nadine, Sabrina et Thanh sont assis directement face à la caméra, chacun partageant des révélations personnelles et parfois surprenantes sur leurs pères. Leurs histoires vont des tendres souvenirs d'après-midi passés sur le ventre de leurs pères aux récits poignants de la discipline paternelle à l'aide d'un bâton. L'amour, la perte et les nuances de la dynamique père-enfant sont explorés avec une honnêteté crue. Ces récits construisent une mosaïque d'émotions - réconfort, déception, peur, colère, dégoût, émerveillement et réconciliation avec son propre passé. Le film évite les discours théoriques et se concentre plutôt sur la subjectivité radicale d'être l'enfant d'un père. Il met en lumière les divers rôles joués par les pères : le protecteur, le disciplinaire, la figure absente, le confident aimant, l'homme solitaire et le parent souffrant de troubles émotionnels. Chaque histoire est unique, mais a une résonance universelle. Elles explorent des thèmes tels que l'utilisation de la peur comme outil parental, la complexité d'aimer un père sans affection physique, la lutte pour se sentir connecté à un père méprisé par les autres, et la compréhension silencieuse de l'amour non exprimé. Le film aborde également l'impact profond de l'absence d'un père lors d'événements importants de la vie comme le mariage ou la naissance d'un petit-enfant.
Documentaire, Cinéma indépendant
1h 15min
16+
DE
PT
NL
ES
FR
EN
IT
SV
Sur les disparus et les retrouvés. Sur ceux qui se taisent et ceux qui hurlent. Sur les câlins et les éternuements. Six histoires de pères.
Documentaire intime et profondément touchant, NOS PÈRES donne vie aux relations complexes et profondes entre les enfants et leurs pères. À travers six récits captivants, racontés dans un style minimaliste sur un fond noir austère, le film plonge dans le labyrinthe émotionnel de la paternité.
Ali, Dela, Jonas, Nadine, Sabrina et Thanh sont assis directement face à la caméra, chacun partageant des révélations personnelles et parfois surprenantes sur leurs pères. Leurs histoires vont des tendres souvenirs d'après-midi passés sur le ventre de leurs pères aux récits poignants de la discipline paternelle à l'aide d'un bâton. L'amour, la perte et les nuances de la dynamique père-enfant sont explorés avec une honnêteté crue.
Ces récits construisent une mosaïque d'émotions - réconfort, déception, peur, colère, dégoût, émerveillement et réconciliation avec son propre passé. Le film évite les discours théoriques et se concentre plutôt sur la subjectivité radicale d'être l'enfant d'un père. Il met en lumière les divers rôles joués par les pères : le protecteur, le disciplinaire, la figure absente, le confident aimant, l'homme solitaire et le parent souffrant de troubles émotionnels.
Chaque histoire est unique, mais a une résonance universelle. Elles explorent des thèmes tels que l'utilisation de la peur comme outil parental, la complexité d'aimer un père sans affection physique, la lutte pour se sentir connecté à un père méprisé par les autres, et la compréhension silencieuse de l'amour non exprimé. Le film aborde également l'impact profond de l'absence d'un père lors d'événements importants de la vie comme le mariage ou la naissance d'un petit-enfant.