Dans le contexte de la répression du gouvernement philippin contre les drogues illégales, une force de police dirigée par le SWAT lance une opération pour arrêter Abel, l'un des plus grands barons de la drogue de Manille. L'officier de police Espino et Elijah, un petit revendeur devenu informateur, fournissent les renseignements nécessaires à l'opération, qui dégénère rapidement en un affrontement violent et armé dans les bidonvilles entre le SWAT et le gang d'Abel. Avant que les enquêteurs n'arrivent sur les lieux du crime, Espino et Elijah s'enfuient avec le sac à dos d'Abel, rempli d'argent et de méthamphétamine. Ce geste de survie pour l'un et de corruption pour l'autre va bientôt déclencher une série d'événements dangereux, tous deux risquant leur réputation, leur famille et leur vie. Réalisé par le célèbre Brillante Mendoza, le film est une exploration captivante de la moralité, de la survie et de la corruption qui plonge au cœur des complexités sociopolitiques de la guerre antidrogue controversée du président Rodrigo Duterte. Mendoza utilise un style docudrame qui confère au film un sens intense de l'immédiateté et du réalisme. La caméra suit les personnages dans les rues chaotiques de Manille, dans les intérieurs exigus et sombres des maisons de fortune, et dans les couloirs tendus et claustrophobes du pouvoir où le sort de beaucoup est décidé par quelques-uns. La puissance de la narration visuelle du film est complétée par son scénario tendu, qui s'appuie sur des recherches approfondies et présente un portrait brutal de la corruption systémique et des dilemmes moraux personnels auxquels sont confrontés ceux qui se trouvent des deux côtés de la loi. ALPHA : THE RIGHT TO KILL n'hésite pas à dépeindre la dureté de son cadre - les bidonvilles de Manille deviennent un personnage à part entière, reflétant le désespoir et la décadence qui alimentent le cycle de la violence et de la corruption. Le récit du film est propulsé par des séquences de haute voltige qui
Policier, Thriller
1h 33min
16+
TL
SV
EN
DE
Sur fond de répression du gouvernement philippin contre les drogues illégales, un policier et son jeune informateur luttent pour leur survie.
Dans le contexte de la répression du gouvernement philippin contre les drogues illégales, une force de police dirigée par le SWAT lance une opération pour arrêter Abel, l'un des plus grands barons de la drogue de Manille. L'officier de police Espino et Elijah, un petit revendeur devenu informateur, fournissent les renseignements nécessaires à l'opération, qui dégénère rapidement en un affrontement violent et armé dans les bidonvilles entre le SWAT et le gang d'Abel. Avant que les enquêteurs n'arrivent sur les lieux du crime, Espino et Elijah s'enfuient avec le sac à dos d'Abel, rempli d'argent et de méthamphétamine. Ce geste de survie pour l'un et de corruption pour l'autre va bientôt déclencher une série d'événements dangereux, tous deux risquant leur réputation, leur famille et leur vie.
Réalisé par le célèbre Brillante Mendoza, le film est une exploration captivante de la moralité, de la survie et de la corruption qui plonge au cœur des complexités sociopolitiques de la guerre antidrogue controversée du président Rodrigo Duterte. Mendoza utilise un style docudrame qui confère au film un sens intense de l'immédiateté et du réalisme. La caméra suit les personnages dans les rues chaotiques de Manille, dans les intérieurs exigus et sombres des maisons de fortune, et dans les couloirs tendus et claustrophobes du pouvoir où le sort de beaucoup est décidé par quelques-uns. La puissance de la narration visuelle du film est complétée par son scénario tendu, qui s'appuie sur des recherches approfondies et présente un portrait brutal de la corruption systémique et des dilemmes moraux personnels auxquels sont confrontés ceux qui se trouvent des deux côtés de la loi.
ALPHA : THE RIGHT TO KILL n'hésite pas à dépeindre la dureté de son cadre - les bidonvilles de Manille deviennent un personnage à part entière, reflétant le désespoir et la décadence qui alimentent le cycle de la violence et de la corruption. Le récit du film est propulsé par des séquences de haute voltige qui