La haine est dans leur sang, l'empathie est secondaire et la nation passe avant tout. Comment vit-on le fait d'être né dans une famille d'extrême droite et de grandir dans ce contexte ? Un problème qui, au vu des récentes violences commises par l'extrême droite, est plus que jamais d'actualité, se développe dans l'ombre de la société majoritaire : des enfants qui grandissent dans un environnement hostile à la démocratie et sont éduqués selon les principes dogmatiques de l'idéologie d'extrême droite. En prenant l'exemple d'Elsa, Mohammad Farokhmanesh et Frank Geiger (tous deux producteurs de «Téhéran Tabou») racontent ce qu'est devenu un enfant élevé dans la foi en des slogans tels que «Pour le Führer, le peuple et la patrie !». Des représentants de la nouvelle droite, tels que Martin Sellner, Götz Kubitschek, Ellen Kositza et Sigrid Schüssler, ainsi que l'expert en extrémisme de droite et criminologue Bernd Wagner et le déserteur Alexander Linger, prennent également la parole. « Un film intelligent, tendre, triste et très important » (artechock.de)
Qu'est-ce que ça fait de naître dans une famille d'extrême droite, puis de devenir adulte ?
La haine est dans leur sang, l'empathie est secondaire et la nation passe avant tout. Comment vit-on le fait d'être né dans une famille d'extrême droite et de grandir dans ce contexte ?
Un problème qui, au vu des récentes violences commises par l'extrême droite, est plus que jamais d'actualité, se développe dans l'ombre de la société majoritaire : des enfants qui grandissent dans un environnement hostile à la démocratie et sont éduqués selon les principes dogmatiques de l'idéologie d'extrême droite.
En prenant l'exemple d'Elsa, Mohammad Farokhmanesh et Frank Geiger (tous deux producteurs de «Téhéran Tabou») racontent ce qu'est devenu un enfant élevé dans la foi en des slogans tels que «Pour le Führer, le peuple et la patrie !». Des représentants de la nouvelle droite, tels que Martin Sellner, Götz Kubitschek, Ellen Kositza et Sigrid Schüssler, ainsi que l'expert en extrémisme de droite et criminologue Bernd Wagner et le déserteur Alexander Linger, prennent également la parole.
« Un film intelligent, tendre, triste et très important » (artechock.de)