Inspiré par le test d'un logiciel de reconnaissance faciale réalisé dans une gare de Berlin dans le cadre de la lutte contre le terrorisme international, le pionnier de la vidéo Gerd Conradt lance sa digression sur la reconnaissance faciale. Il s'entretient avec des défenseurs de la vie privée, des artistes comme Julius von Bismarck et la ministre d'État de la numérisation de l'époque, Dorothee Bär, sur le « projet pilote » de reconnaissance faciale numérique à la gare de Berlin Südkreuz. Présente un décodeur humain et confronte ses protagonistes à des clips vidéo dans lesquels le visage est négocié comme une œuvre d'art. Le film demande : à qui appartient le visage devenu code numérique ?
Une digression sur le codage du visage qui, comme une empreinte digitale moderne, permet d'accéder à la personnalité d'une personne comme un sceau.
Inspiré par le test d'un logiciel de reconnaissance faciale réalisé dans une gare de Berlin dans le cadre de la lutte contre le terrorisme international, le pionnier de la vidéo Gerd Conradt lance sa digression sur la reconnaissance faciale.
Il s'entretient avec des défenseurs de la vie privée, des artistes comme Julius von Bismarck et la ministre d'État de la numérisation de l'époque, Dorothee Bär, sur le « projet pilote » de reconnaissance faciale numérique à la gare de Berlin Südkreuz. Présente un décodeur humain et confronte ses protagonistes à des clips vidéo dans lesquels le visage est négocié comme une œuvre d'art. Le film demande : à qui appartient le visage devenu code numérique ?