L'hôpital Immanuel Kant à Berlin-Neukölln à minuit. Un patient vient d'être admis. Des journalistes de télévision sont sur place. Le début d'une histoire qui se raconte. Le grand autoportrait du cinéaste berlinois avec tout ce que cela implique. Un peu d'autopromotion, un peu d'homosexualité et le tout est absolument inimitable et de toute façon jamais ennuyeux. (Festival du court-métrage de Schwenningen)
Michael Brynntrup anticipe, dans son style reconnaissable entre tous, les développements dans les médias dès le début des années 2000.
L'hôpital Immanuel Kant à Berlin-Neukölln à minuit. Un patient vient d'être admis. Des journalistes de télévision sont sur place. Le début d'une histoire qui se raconte.
Le grand autoportrait du cinéaste berlinois avec tout ce que cela implique. Un peu d'autopromotion, un peu d'homosexualité et le tout est absolument inimitable et de toute façon jamais ennuyeux. (Festival du court-métrage de Schwenningen)