Un court métrage de l'un des artistes allemands les plus respectés du cinéma expérimental, Michael Brynntrup, mettant en scène l'un des talents uniques de l'Allemagne, Udo Kier (MANDERLAY) et la cinéaste Mara Mattuschka. "Soutenu par l'apparence excentrique de l'"enfant terrible" Udo Kier, le réalisateur Michael Brynntrup marche sur une ligne entre l'avant-garde et le trash - ce qui équivaut à s'affranchir des deux. Brynntrup a un sens de l'humour distinct, de l'humour noir, bien sûr." (Catalogue Gay Film Festival Freiburg, 1994) Réfléchir à la mort, c'est réfléchir à la liberté. Car l'homme qui a appris à mourir a désappris à être esclave." (Michel de Montaigne, extrait de l'essai 'Philosopher, c'est apprendre à mourir')
Udo Kier marche avec humour noir sur une ligne ténue entre l'avant-garde et le trash, ce qui équivaut à un acte de déchaînement.
Un court métrage de l'un des artistes allemands les plus respectés du cinéma expérimental, Michael Brynntrup, mettant en scène l'un des talents uniques de l'Allemagne, Udo Kier (MANDERLAY) et la cinéaste Mara Mattuschka.
"Soutenu par l'apparence excentrique de l'"enfant terrible" Udo Kier, le réalisateur Michael Brynntrup marche sur une ligne entre l'avant-garde et le trash - ce qui équivaut à s'affranchir des deux. Brynntrup a un sens de l'humour distinct, de l'humour noir, bien sûr." (Catalogue Gay Film Festival Freiburg, 1994)
Réfléchir à la mort, c'est réfléchir à la liberté. Car l'homme qui a appris à mourir a désappris à être esclave." (Michel de Montaigne, extrait de l'essai 'Philosopher, c'est apprendre à mourir')