2004, Kreuzberg à l'époque d'avant les hipsters, les vélos à bière et les tournées de pubs : Neco Celik le "Spike Lee allemand" dresse un portrait authentique de la culture des jeunes des quartiers défavorisés. "URBAN GUERILLAS de Neco Çelik met en scène la scène berlinoise des pulvérisateurs et des graffitis comme un clip MTV du Bronx... URBAN GUERILLAS... possède ce qui manque à la plupart des films allemands et pour lequel il n'existe pas de termes allemands : "l'attitude" et la "crédibilité de la rue". (Die Welt) "URBAN GUERILLAS de Neco Celik est comme un message dans une bouteille provenant d'un univers parallèle... Le film est à la fois une représentation authentique et artificielle de la scène des pulvérisateurs et des graffitis : les acteurs se représentent eux-mêmes avec un facteur de coolitude qui fait exploser chaque image... Berlin a l'air de venir d'être pulvérisée." (Süddeutsche Zeitung) Le New York Times a qualifié le scénariste et réalisateur de URBAN GUERILLAS, Neco Celik, de "Spike Lee allemand" pour cette représentation authentique de la culture des jeunes des quartiers défavorisés. Kasper et Danger se sont brouillés avec leurs équipes de pulvérisateurs. Il est temps de prendre un nouveau départ. 2004, Kreuzberg à une époque où il n'y avait pas encore de hipsters, de vélos à bière et de tournées des bars. "J'aime, et en même temps, je déteste le drame de l'embarras". (Neco Celik dans une interview avec Maxim Biller)
2004, Kreuzberg à une époque où il n'y avait pas encore de hipsters, de vélos à bière et de tournées des bars.
2004, Kreuzberg à l'époque d'avant les hipsters, les vélos à bière et les tournées de pubs : Neco Celik le "Spike Lee allemand" dresse un portrait authentique de la culture des jeunes des quartiers défavorisés.
"URBAN GUERILLAS de Neco Çelik met en scène la scène berlinoise des pulvérisateurs et des graffitis comme un clip MTV du Bronx... URBAN GUERILLAS... possède ce qui manque à la plupart des films allemands et pour lequel il n'existe pas de termes allemands : "l'attitude" et la "crédibilité de la rue". (Die Welt)
"URBAN GUERILLAS de Neco Celik est comme un message dans une bouteille provenant d'un univers parallèle... Le film est à la fois une représentation authentique et artificielle de la scène des pulvérisateurs et des graffitis : les acteurs se représentent eux-mêmes avec un facteur de coolitude qui fait exploser chaque image... Berlin a l'air de venir d'être pulvérisée." (Süddeutsche Zeitung)
Le New York Times a qualifié le scénariste et réalisateur de URBAN GUERILLAS, Neco Celik, de "Spike Lee allemand" pour cette représentation authentique de la culture des jeunes des quartiers défavorisés. Kasper et Danger se sont brouillés avec leurs équipes de pulvérisateurs. Il est temps de prendre un nouveau départ. 2004, Kreuzberg à une époque où il n'y avait pas encore de hipsters, de vélos à bière et de tournées des bars. "J'aime, et en même temps, je déteste le drame de l'embarras". (Neco Celik dans une interview avec Maxim Biller)