Dans son court documentaire controversé, Nikias Chryssos prend le titre MAN LOVES DOG au pied de la lettre et dresse le portrait de deux zoophiles et de la relation particulière qu'ils entretiennent avec leurs animaux. Le film "vise à présenter au public une opportunité de réflexion morale." (Nikias Chryssos) MKI et Bela vivent seuls avec leurs chiens. Leur relation avec leurs animaux n'est pas seulement émotionnelle, elle inclut aussi la sexualité comme partie intégrante de la vie commune. Man Loves Dog présente un aperçu intime du microcosme de deux zoophiles allemands, de leur compréhension d'eux-mêmes et de leur idée de l'amour. "D'un point de vue stylistique, mon approche diffère sensiblement des portraits stylisés qui caractérisent des films comme "Zoo" (Robinson Devor, 2007) [ou] la mise en scène en tableaux de "Animal Love" (Ulrich Seidl, 1995). Je voulais que de vraies personnes, non masquées, parlent de leurs expériences. Ce traitement intime ne nie pas l'ambiguïté morale des pratiques de mes protagonistes, au contraire. Le film se concentre sur leurs mondes intimes et s'abstient de porter un jugement sur leurs pratiques. Il vise à offrir au public une opportunité de réflexion morale" - Nikias Chryssos
Amour & Sexualité, Documentaire
30min
16 FSK
DE
Le portrait controversé de deux hommes zoophiles et de leur relation avec leurs compagnons à quatre pattes.
Dans son court documentaire controversé, Nikias Chryssos prend le titre MAN LOVES DOG au pied de la lettre et dresse le portrait de deux zoophiles et de la relation particulière qu'ils entretiennent avec leurs animaux.
Le film "vise à présenter au public une opportunité de réflexion morale." (Nikias Chryssos)
MKI et Bela vivent seuls avec leurs chiens. Leur relation avec leurs animaux n'est pas seulement émotionnelle, elle inclut aussi la sexualité comme partie intégrante de la vie commune. Man Loves Dog présente un aperçu intime du microcosme de deux zoophiles allemands, de leur compréhension d'eux-mêmes et de leur idée de l'amour. "D'un point de vue stylistique, mon approche diffère sensiblement des portraits stylisés qui caractérisent des films comme "Zoo" (Robinson Devor, 2007) [ou] la mise en scène en tableaux de "Animal Love" (Ulrich Seidl, 1995). Je voulais que de vraies personnes, non masquées, parlent de leurs expériences. Ce traitement intime ne nie pas l'ambiguïté morale des pratiques de mes protagonistes, au contraire. Le film se concentre sur leurs mondes intimes et s'abstient de porter un jugement sur leurs pratiques. Il vise à offrir au public une opportunité de réflexion morale" - Nikias Chryssos