JALANAN ('Streetside') raconte l'histoire captivante de Boni, Ho et Titi, trois musiciens de rue doués de Jakarta, au cours d'une période tumultueuse de cinq ans dans leur propre vie et dans celle de l'Indonésie. Le film suit ces jeunes musiciens marginalisés et leur sous-culture inédite, tout en dressant un portrait saisissant, lunatique et intime de la capitale frénétique de l'Indonésie. S'appuyant sur la puissante bande sonore des compositions originales des musiciens, le film retrace leur insaisissable quête d'identité et d'amour dans le quotidien d'une ville envahie par les effets de la mondialisation et de la corruption. "JALANAN est un rappel poignant du fossé flagrant entre les riches et les pauvres dans la plus grande économie d'Asie du Sud-Est." (The Economist) "Absolument époustouflé par JALANAN de Daniel Ziv. Une œuvre vitale et incroyable. Mérite d'être vu par tout le monde. Remarquable." (Gareth Evans)
Cinéma indépendant, Musique, danse et théâtre
1h 47min
16+
ID
EN
DE
L'histoire captivante de trois musiciens de rue à Jakarta au cours d'une période tumultueuse de 5 ans dans leur propre vie et celle de l'Indonésie.
JALANAN ('Streetside') raconte l'histoire captivante de Boni, Ho et Titi, trois musiciens de rue doués de Jakarta, au cours d'une période tumultueuse de cinq ans dans leur propre vie et dans celle de l'Indonésie.
Le film suit ces jeunes musiciens marginalisés et leur sous-culture inédite, tout en dressant un portrait saisissant, lunatique et intime de la capitale frénétique de l'Indonésie. S'appuyant sur la puissante bande sonore des compositions originales des musiciens, le film retrace leur insaisissable quête d'identité et d'amour dans le quotidien d'une ville envahie par les effets de la mondialisation et de la corruption. "JALANAN est un rappel poignant du fossé flagrant entre les riches et les pauvres dans la plus grande économie d'Asie du Sud-Est." (The Economist)
"Absolument époustouflé par JALANAN de Daniel Ziv. Une œuvre vitale et incroyable. Mérite d'être vu par tout le monde. Remarquable." (Gareth Evans)