Lana, la concierge, partage un petit appartement avec sa mère qui a besoin de soins. Elle observe une jeune femme dans le bloc d'appartements d'en face à travers une caméra vidéo et construit une relation intime avec elle dans son imagination. Lorsque Lana voit le bonheur de sa nouvelle amie menacé, elle quitte son rôle d'observatrice silencieuse et intervient dans les événements. "153 METER" est une déclaration d'amour visuelle au monde de la vidéo. La matérialité de l'image et la texture font du film une réflexion sur le fantasme d'une vie meilleure. Avec beaucoup d'amour pour ses personnages, le film s'équilibre entre réalité et nostalgie tout en créant une visualité à plusieurs niveaux : qui observe vraiment qui ici ? Une œuvre qui entraîne le spectateur dans un champ de bataille voyeuriste et qui pousse à la réflexion". (Sarina Laudam, curatrice de Sooner) "Les actrices sont les membres d'une famille - ma famille. Michaela Caspar et Maria Luise Preuss sont, comme dans le film, une mère et une fille qui vivent ensemble dans le même foyer. Maria Luise Preuss souffre d'aphasie et d'hémiplégie depuis un accident vasculaire cérébral et est soignée par sa fille". (Réalisation Statement Anton von Heiseler)
Deux immeubles en préfabriqué se faisant face, trois femmes, trois générations, une caméra vidéo. L'histoire d'une obsession.
Lana, la concierge, partage un petit appartement avec sa mère qui a besoin de soins. Elle observe une jeune femme dans le bloc d'appartements d'en face à travers une caméra vidéo et construit une relation intime avec elle dans son imagination. Lorsque Lana voit le bonheur de sa nouvelle amie menacé, elle quitte son rôle d'observatrice silencieuse et intervient dans les événements.
"153 METER" est une déclaration d'amour visuelle au monde de la vidéo. La matérialité de l'image et la texture font du film une réflexion sur le fantasme d'une vie meilleure. Avec beaucoup d'amour pour ses personnages, le film s'équilibre entre réalité et nostalgie tout en créant une visualité à plusieurs niveaux : qui observe vraiment qui ici ? Une œuvre qui entraîne le spectateur dans un champ de bataille voyeuriste et qui pousse à la réflexion". (Sarina Laudam, curatrice de Sooner)
"Les actrices sont les membres d'une famille - ma famille. Michaela Caspar et Maria Luise Preuss sont, comme dans le film, une mère et une fille qui vivent ensemble dans le même foyer. Maria Luise Preuss souffre d'aphasie et d'hémiplégie depuis un accident vasculaire cérébral et est soignée par sa fille". (Réalisation Statement Anton von Heiseler)