Grisha, un garçon russo-allemand, s'amuse avec un pistolet en bois. Plus il joue, plus il est entraîné dans une réalité altérée. Les frontières entre le passé et le présent, le réel et le surréel, s'estompent. Des images d'un Berlin révolu apparaissent ; les rues et les bâtiments portent encore les souvenirs de la guerre. Soudain, il est pris dans un cauchemar d'une autre vie, cauchemar qui est encore présent aujourd'hui. "Ce court métrage montre avec succès à quel point l'horreur de la Seconde Guerre mondiale est encore présente dans le discours du présent. (Déclaration du jury - FBW Deutsche Filmbewertungsstelle) Avec son poème filmique COME AND PLAY sur le souvenir des guerres, la réalisatrice Daria Belova, née à Saint-Pétersbourg, a non seulement convaincu le jury de Cannes, mais aussi le German Film Rating Board.
Un garçon qui joue avec un fusil jouet dans les bois est entraîné dans une réalité altérée.
Grisha, un garçon russo-allemand, s'amuse avec un pistolet en bois. Plus il joue, plus il est entraîné dans une réalité altérée.
Les frontières entre le passé et le présent, le réel et le surréel, s'estompent. Des images d'un Berlin révolu apparaissent ; les rues et les bâtiments portent encore les souvenirs de la guerre. Soudain, il est pris dans un cauchemar d'une autre vie, cauchemar qui est encore présent aujourd'hui.
"Ce court métrage montre avec succès à quel point l'horreur de la Seconde Guerre mondiale est encore présente dans le discours du présent. (Déclaration du jury - FBW Deutsche Filmbewertungsstelle)
Avec son poème filmique COME AND PLAY sur le souvenir des guerres, la réalisatrice Daria Belova, née à Saint-Pétersbourg, a non seulement convaincu le jury de Cannes, mais aussi le German Film Rating Board.